Avec Data Recovery VMware propose un système de sauvegarde des machines virtuelles simple, à destination des environnements de petites et moyennes tailles. Pourtant, il s'agit d'un produit jeune, et ce dernier n'est pas exempt de défauts (comprendre bugs). Ainsi, sur ma maquette personnelle (vSphere 4.1) je me suis aperçu qu'une machine virtuelle fraîchement créée et exécutant Windows 2008 n'était pas sauvegardée correctement. Data Recovery est peu documenté chez VMware et j'ai passé quelque temps à trouver la solution que voici.

Les divers flux de communication entre les différents éléments d'une infrastructure vSphere (par exemple le dialogue entre le serveur ESX(i) et le serveur vCenter) transitent dans un canal sécurisé avec SSL. Par défaut les certificats SSL qui permettent le chiffrement / déchiffrement du trafic réseau crypté, et qui sont générés automatiquement lors de l'installation de ESX(i) ou de vCenter sont auto-signés et sont des clés de 512 bits. Il est légitime pour des raisons de sécurité (et en outre recommandé par VMware), de souhaiter remplacer les certificats d'origines par d'autres émis par une autorité de certification digne de confiance. Il est possible de se tourner vers une autorité de certification externe comme VeriSign, ou alors d'utiliser une autorité de certification interne à l'entreprise.

La documentation VMware à ce sujet est un peu floue et je vais donc décrire ici mon propre retour d'expérience avec l'utilisation d'une autorité de certification sous Windows 2008 R2.

VMware a sorti le 13 juillet dernier la version 4.1 de son environnement de virtualisation vSphere. Cette nouvelle mouture propose quelques améliorations et innovations intéressantes. La suite de cet article a pour but de présenter rapidement et de façon non exhaustive ces nouveautés dans la pratique.

Il n'est malheureusement pas encore possible de démarrer nativement une machine virtuelle VMware Workstation (même avec la version 7.1) sur une clé USB bootable. Pourtant il m'est arrivé quelque fois de vouloir tester une clé USB bootable, et je suis tombé sur un billet qui explique une solution de contournement utilisant un gestionnaire de démarrage.